Pr Dayoro Arnaud situe les enjeux
L'U𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗙𝗲́𝗹𝗶𝘅 𝗛𝗼𝘂𝗽𝗵𝗼𝘂𝗲̈𝘁 𝗕𝗼𝗶𝗴𝗻𝘆 en partenariat avec le Laboratoire Société, Individus, Culture (LASIC) et le Pôle d'excellence Africain Africa Multiple de l'université Joseph KI-Zerbo du Burkina Faso organise du 9 au 11 mai 2024, la 2e édition du symposium international sur le bien-être autour du thème : «Bien-être, savoir et opératiques plurielles de soin ».
A l’ouverture dudit 𝘀𝘆𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘂𝗺,
Pr Dayoro Arnaud, président du comité d’organisation a indiqué : « Cet évènement revêt une importance capitale
car il met en lumière des thèmes fondamentaux qui sont au cœur de nos
recherches depuis de nombreuses années ». Pour lui, ce symposium
interuniversitaire est une occasion pour les participants issus de plusieurs
secteurs d’activités d’échanger avec des spécialistes et de soulever des
questionnements d’ordre éthique, épistémologique, méthodologique et réflexif
sur des logiques d’acteurs au regard des diverses pratiques de soins. « Dans le cadre de cette rencontre, nous
avons l’opportunité unique de réfléchir à la mutualisation des compétences et
des pratiques thérapeutiques, en favorisant le dialogue entre les différentes
cultures de soin. Je tiens à remercier l'université Joseph KI-Zerbo du Burkina
Faso soutenu par le Pôle d'excellence Africain Africa Multiple pour son
engagement en faveur de de ce projet, ainsi que tous ceux qui ont contribué à
sa réussite », a-t-il indiqué. Selon lui, ce 𝘀𝘆𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘂𝗺
est organisé en huit panels. « Chacun explorant une facette differente des
pratiques de soins, allant de la kinésithérapie à la psychothérapie en passant
par l’homéopathie, l’acupuncture, les traditions thérapeutiques le lien entre
le sport et la santé, la naturo-thérapie et l’hypno-thérapie », a-t-il
dit. Pr Sangaré Aboudramane, représentant le président de l’'U𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́
𝗙𝗲́𝗹𝗶𝘅
𝗛𝗼𝘂𝗽𝗵𝗼𝘂𝗲̈𝘁
𝗕𝗼𝗶𝗴𝗻𝘆,
a félicité les organisateurs pour ce 𝘀𝘆𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘂𝗺
𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹.
Aussi, il a exhorté ses collègues et jeunes doctorants à tirer profit de ce 𝘀𝘆𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘂𝗺.
En outre, il a souhaité que les conclusions des travaux ne restent pas dans les
tiroirs et que ces résultats soient mis à la disposition des unités de
recherche.
GK